Aral Balkan (@aral – ar.al) est intervenu en direct de Gand le 17 avril pour une conférence intitulée “Smart Citizens, not Smart Cities”, dans le cadre d’une série d’interventions sur le thème Democracy in a Digital Age.
Vous pouvez revoir ici son intervention (à partir de 1h48), à la fin de laquelle il explique le projet qu’il développe actuellement avec la ville de Gand et qui a pour vocation de permettre aux citoyens de reprendre le contrôle de leurs données et de leur vie privée : le début d’un Internet nouvelle génération ? Les villes ont un rôle à jouer pour nous permettre de reprendre le contrôle de nos destins (/ destins numériques). Avec Aral Balkan et l’équipe qu’il a constituée, Gand montre concrètement la voie.
Le programme de l’après-midi :
Albert Meijer – Participative or Representative democracy?
Gerrie Smits – Blockchain
Aral Balkan – Smart Citizens, not Smart Cities (à partir de 1h48)
Panel discussion
Etienne Augé – Cities and Science Fiction
Aral est mentionné à plusieurs reprises dans L’avenir [des pixels] est entre nos mains (pages 145-146 dans le chapitre ‘Le réseau social, c’est nous’, page 228 dans le chapitre ‘Notre liberté dans l’océan de pixels’).
Aux côtés de Laura Kalbag (@laurakalbag), il travaille à l’avènement d’un Internet éthique en développant Ind.ie. Il est l’auteur du Manifeste du design éthique (mentionné dans l’article Notre attention : un bien commun précieux).
Sous le flux vidéo de sa conférence du 17 avril 2018, un article de John Harris (@johnharris1969), journaliste à The Guardian, au sujet d’Ind.ie, ainsi que d’autres interventions d’Aral Balkan.
En préambule, voici en images l’interview dont Aral Balkan fait entendre un extrait aux participants au début de son intervention. Il s’agit de l’interview de Christopher Wylie (@chrisinsilico) publiée par The Guardian le 17 mars 2018. Christopher Wylie a travaillé pour Cambridge Analytica. Il a révélé au monde les pratiques de l’entreprise et de Facebook. The Guardian a publié une riche enquête (The Cambridge Analytica files) sur le sujet. Cette interview est une ressource de l’un des articles de l’enquête (How Cambridge Analytica turned Facebook ‘likes’ into a lucrative political tool).
(La chaîne Channel 4 a également publié une enquête sur Cambridge Analytica : Data, Democracy and Dirty Tricks)
Aral Balkan à partir de 1h48
C’est dans cette intervention qu’il proposait de faire naître à Gand « The next generation of the Internet » :
« Data about the world around us should belong to the Commons. Data about people should belong to people. » @aral https://t.co/e9nTERLRyL
— Timothy Duquesne ✏️ (@timothyduquesne) 25 septembre 2017
Let’s ask ourselves, with @aral at @oredev, what role we play in the world we live in and woke up into this morning https://t.co/RMkWWp7cIA
— Timothy Duquesne ✏️ (@timothyduquesne) 9 novembre 2016
Un article de The Guardian (1 février 2018) :
« Around the world, a handful of visionaries [including @aral & @laurakalbag – @indie] are plotting an alternative online future. (…) »https://t.co/HmTJx7ahAZ
#futureofpixels
fyi @MaisOuVaLeWeb— Timothy Duquesne ✏️ (@timothyduquesne) 13 février 2018
Must-watch #privacy #humanrights #democracy #digitalera
Beyond the Clouds, @aral at @GLOBART_Academyhttps://t.co/YUHItkX3uf#futureofpixels— Timothy Duquesne ✏️ (@timothyduquesne) 11 octobre 2016
‘Power to the People: Aral Balkan @aral – Ethical design & Democracy’ @DeBaliehttps://t.co/jiQTarrvhx
A must-watch #privacy #humanrights— Timothy Duquesne ✏️ (@timothyduquesne) 22 janvier 2016
‘Beyond The Camera Panopticon’, @aral‘s keynote yesterday at @republica : http://t.co/3qH32Oe2N7#surveillance #privacy #doublethink
— Timothy Duquesne ✏️ (@timothyduquesne) 6 mai 2015
By treating people and their data as separate constructs – one a subject, the other an object – what you end up doing is commodifying people by slicing them into their constituent bits and bytes; ready to be sold off to the highest bidder.
— Aral Balkan (@aral) 28 janvier 2018